Initiatives Positives

Cette association française a pour but le financement de gymnases à Lomé afin d'offrir la possibilité aux jeunes désireux d'apprendre la boxe un accès gratuit et facilité à ce sport. La photographie est un autre aspect de ce projet qui y ajoute une belle dimension artistique.

Le codage est l’alphabétisation de l’ère numérique “. Ce projet se fonde sur l’idée que le codage est un tout nouveau langage que les enfants doivent nécessairement apprendre au XXIème siècle . C’est pourquoi SAP (entreprise d’analyse de données financières et comptables), le Centre de Science de Cape Town et le Centre d’éducation de Galway ont uni leurs forces et donné naissance à Africa Code Week. L’an dernier, l’initiative lancée dans 17 pays a permis à 89 000 jeunes de pouvoir écrire leurs premières lignes de code ou de toucher un ordinateur pour la première fois. C’est la plus grande initiative d’alphabétisation numérique jamais organisée sur le continent africain à ce jour. Africa Code week a reçu le prix C4F (catégorie : « L’éducation du futur ») du Forum mondial de Davos le 8 mars 2016. En septembre 2016, l’initiative a reçu un Judges' Choice Award lors du concours de l’Innovation Inclusive MIT IDE.

African DREAM  est un nouveau concept visant à favoriser et à faciliter le retour des cadres africains expatriés mais aussi des étudiants en fin de cycle dans leur pays d’origine en palliant aux problème de manque d’informations concernant les opportunités existantes et les procédures de recrutement.  L’African DREAM a également pour objectif d’apporter un appui de conseil et d’assistance aux promoteurs de projets d’investissement en Afrique afin d’accroître leur contribution au développement du continent.

"L’expérience des OMD nous apprend que les conditions initiales influencent invariablement le rythme de l’évolution des programmes de développement mondiaux. Compte tenu des scores relativement faibles enregistrés au regard de la plupart des indicateurs des OMD à l’échelle du continent en 1990, il n’est pas surprenant que l’Afrique ne puisse pas atteindre tous les OMD d’ici la fin 2015. Néanmoins, nombre de pays africains ont introduit des réformes institutionnelles et des politiques efficaces pour améliorer la gouvernance, promouvoir la croissance économique et faciliter l’accès aux services sociaux. Par conséquent, le rythme des progrès sur l’ensemble des indicateurs s’est accéléré depuis 2005."

La FAO a organisé et intégré ses activités dans la région autour de trois initiatives régionales afin d’avoir des résultats tangibles dans des délais bien précis, tout en répondant à des objectifs stratégiques. En Afrique, les initiatives régionales ont été élaborées sur la base d’un examen intersectorielle et interdisciplinaire approfondi des questions spatiales. Elles appellent à une action accélérée par les pays membres dans la lutte contre la faim (L’engagement pris par l’Afrique d’éradiquer la faim d’ici à 2025) ; favorisent également des pratiques innovantes qui se sont avérées durables et des principes en matière de processus de production et de post-production (Intensification durable de la production et le développement de la chaîne de valeur en Afrique) ; et visent à renforcer la résilience des communautés agricoles vulnérables et les éleveurs (Favoriser la résilience dans les zones arides d’Afrique).

C’est lors de la Journée de l'Afrique, mardi 21 novembre, au siège de la Banque africaine de développement (BAD) à Abidjan qu’a eu lieu le lancement officiel de Boost Africa, une initiative portée par les deux institutions financières, en faveur de l'entrepreneuriat africain.

« Cette initiative vise à prendre en charge les jeunes entrepreneurs dès le début, à croire en eux et à les aider à développer leurs activités »  Akinwumi Adesina, président de la Banque africaine de développement (BAD).

  • Agrisatch : “Nous formons les jeunes pour la cause du développement en nous disant que la nouvelle frontière est là, mais elle se franchira avec les Africains, et surtout les jeunes Africains.” JB Satchivi / Fondateur

Cette entreprise Béninoise, concilie l'aviculture avec un grand respect de l'environnement, de la rémunération de ses salariés et de l'offre d'un accès généralisé aux protéines (via la production d’œufs) pour une population qui en manque parfois cruellement. Cette fondation est un catalyseur du développement durable dans la région.

  • Djikadi : Au Burkina Faso, des graines pour combattre la malnutrition.

La richesse en nutriments des graines de soumbala fait de ce condiment un formidable moyen de lutte contre la faim. L'entreprise Djikadi valorise ainsi l'entrepreneuriat social en encourageant la diffusion et la vente de ces graines en provenance des agriculteurs locaux pour redynamiser le secteur agroalimentaire de la région.

Voire aussi : Fasopro (Burkina Faso)

Le CSFRA vise à promouvoir une agriculture durable et respectueuse de l'environnement pour conduire le Mali vers l'autosuffisance alimentaire, d'après l'inspiration de Pierre Rabhi. Le succès de la distribution d'une production bio autour des AMAP environnant Bamako conduit cette ferme agroécologique à diversifier son activité vers la formation à la gestion et aux techniques de ce mode d'agriculture afin de résoudre de manière pérenne le problème de la faim, en qualité et en quantité dans cet espace.

Voir également : Graine de vie (Madagascar)

Cette machine permet de décortiquer le fonio, une plante céréalière très présente au Sénégal. Les rendements des producteurs de cet aliment extrêmement nutritif furent considérablement augmentés par là même et contribue à un développement rapide des technologies agricoles locales.

  • Star Shea : La technologie au service des travailleuses du Ghana rural

La récolte de noix utilisées pour la fabrication de beurre de karité est une source de revenu majeur pour des femmes qui n'ont jusqu'alors connu qu'un faible pouvoir de négociation quant au prix auquel leur production pouvait se vendre. Star Shea s'est développé dans le but d'informer par SMS ces travailleuses des cours économiques du beurre de karité en temps réel afin de leur offrir une meilleure visibilité des prix auxquels leur production peut être vendue.

Voir aussi : Mlouma (Sénégal), Senm@R+ (Cameroun)...